4 raisons d’acheter un gode-ventouse si vous êtes un homme hétéro !
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Salut à tous ! Pour ce premier article sur le CDB j’ai envie de souffler un vent de fraîcheur sur un thème qui ne laisse pas grand monde indifférent. Si vous avez eu un minimum d’intérêt pour le titre, continuez à lire, vous ne serez pas déçu.
En effet je vais vous donner des idées qui vont peut-être vous pousser à aller tout à l’heure regarder dans votre boutique érotique préférée, dans un rayon où vous n’allez pas franchement mettre les pieds d’habitude.
C’est parti !
1. La première raison pour acheter un gode quand on est un mec hétéro, c’est que vous allez gagner en aisance avec le sexe masculin.
Étonnant, non ?
En effet, l’idée d’aller regarder de près un objet en forme de pénis en érection va probablement vous mettre un peu mal à l’aise au début. Et pourtant, dans l’absolu il n y a vraiment rien de mal à regarder un dildo, comme vous regarderiez une vaginette, une belle montre ou une moto flambant neuve. C’est juste un objet après tout. Et vu le nombre qui se vend sur le marché, je pense que plus de gens qu’on ne le pense en ont à dans leur table de chevet. Pour les vendeurs et vendeuses qui en voient défiler tous les jours, c’est juste un produit à vendre finalement.
Regarder en détail un gode, prendre la boîte et l’acheter, et ensuite prendre l’objet en main… vous allez voir que ce sont de petites étapes à franchir. Et peut-être qu’il vous faudra plusieurs essais pour vous familiariser avec tout ça. Je vous rassure, j’ai acheté le mien sur internet, et la première fois que j’ai ouvert la boîte je l’ai refermée très vite et je l’ai rangé pendant un moment. Plus tard, j’ai ri un peu jaune la première fois que je l’ai sorti de son emballage.
Et puis maintenant c’est un objet comme un autre dans ma boîte de Pandore. Et je me sens plus à l’aise de manière générale avec le sexe masculin. Moi qui ai reçu une éducation très prude, et qui n’ai jamais fait de sport collectif, je n’ai jamais vu d’autre homme nu. Mais aujourd’hui je me sens beaucoup plus à l’aise, et si ma vie m’amène à me retrouver un jour à côtoyer de près d’autres hommes à poil, je serai plus cool, et je prendrai tout ça avec beaucoup plus d’humour.
- 2. La deuxième raison, c’est que vous allez peut-être prendre du plaisir avec
Le pegging est à la mode en ce moment, on en parle un peu partout, et même les super-héros le pratiquent. Le plaisir prostatique est lui aussi de plus en plus médiatisé, alors pourquoi ne pas voir ce que votre corps vous réserve ?
Il y a deux conseils fondamentaux pour éviter de vous faire mal au corps et à l’âme : Lubrifiez abondamment, et allez-y avec une délicatesse infinie quand vous explorez. Je détaillerai ces deux conseils à la fin de l’article.
Si vous êtes un peu excité par la nouveauté de l’expérience, c’est normal, c’est le minimum que je vous souhaite pour que la pratique soit au moins un peu attirante. Et si vos explorations vous amènent à prendre votre pied, vous allez connaître des formes de plaisir qui sont vraiment différentes.
Mais il est tout à fait possible que vous ne trouviez pas de plaisir anal ou prostatique.
Je vous rassure, vous n’aurez pas tout perdu.
- 3. En effet, il y a une troisième raison : vous n’aborderez plus les femmes de la même manière
Si vous avez gagné assez en aisance suffisamment pour acheter un sextoy pénétrant, que vous l’avez utilisé sur vous-même, je pense que vous aurez gagné une bonne dose d’aisance et de sens de l’humour face à l’immense et intouchable image du sexe masculin.
Et surtout, vous saurez de l’intérieur ce qu’on ressent lors d’une pénétration. Et l’infinie douceur dans les mouvements dont on doit faire preuve dans cet acte. Je vous assure que ça changera beaucoup de choses le jour où une nana vous offrira son cul. Ou son sexe d’ailleurs. Et elle le ressentira.
Clairement, vous serez devenu un meilleur amant.
Il reste une raison bonus, qui ne concerne pas tout le monde. C’est un peu le quatrième effet kiss cool.
- 4. Vous pourrez éventuellement faire la paix avec une partie de vous-même
Si vous avez déjà été traversé par des fantasmes un peu inavouables, c’est l’occasion d’aller voir ce qu’il y a derrière. Réaliser que c’est un aspect des choses que vous aimez, parmi d’autres. Ouvrir un espace, de vous à vous, où vous pouvez l’accepter. Et tout ça sans changer quoi que ce soit d’autre à votre vie. Simplement vous dire que vous pouvez continuer votre vie en ayant intégré et fait la paix avec un de vos fantasmes.
Après tout, ce qui vous donne du plaisir vous appartient. Et personne n’a à en juger.
Vous pouvez tout à fait être parfaitement hétérosexuel, avec une sexualité complètement vanille, et prendre de temps en temps votre pied avec un sextoy. Et envoyer se faire voir chez les Grecs tous ceux qui vous ont balancé leurs jugements moraux.
OK, je suis intéressé, qu’est-ce que je fais maintenant ?
Et bien, il n y a plus qu’à passer à l’action : acheter votre toy et s’en servir
Quel godemichet choisir ? Les 3 règles d’or, et le conseil bonus
Il y a une quantité de dildos incroyable sur le marché, des gros, des petits, des bleus, des roses, des énormes, certains qui vibrent, qui pulsent, qui giclent, qui chauffent… Et on peut se sentir carrément perdu au moment du choix, alors voici mes 3+1 bons tuyaux.
- Commencez par un toy simple, sans aucune fonction électronique. N’allez pas chercher les vibrations, les pulsations ou quoi que ce soit. Un gode tout simple, pas trop cher. Choisissez un objet qui vous met à l’aise, certains sont très réalistes, ce n’est pas pour moi le plus facile à appréhender, en revanche un aspect fun et coloré passe mieux (jetez un oeil chez Godemiche par exemple)
- Même si vous n’allez pas chercher un produit de compétition, ne lésinez surtout pas sur la qualité des matériaux. Évitez les jouets bourrés de phtalates et de composition chimique bof. Il y a des tas de sites excellents qui testent des toys, allez voir ce qu’ils recommandent. Et les grandes marques restent des valeurs sures.
- Attention à la taille. Il vaut mieux un jouet « petit » qui vous donnera quand même des sensations qu’un trop gros condamné à rester dans votre tiroir parce qu’il est inutilisable.Sachez que sur le diamètre, cinq petits millimètres peuvent faire une différence importante – et qu’un jouet souple est plus facile à insérer à taille égale.
Pour info, on peut avoir déjà beaucoup d’effets au niveau de la prostate rien qu’avec un Anéros Helix, qui fait une petite dizaine de centimètres de long pour deux de diamètre. Pour les sensations de pénétration plus complète, vous pouvez viser un jouet de la taille de votre sexe. - Conseil bonus : comme je le disais dans le titre, prenez un gode-ventouse. La ventouse n’est jamais pénalisante pour un usage solo. Le fait de pouvoir fixer votre toy sur une surface lisse, type faïence de douche, vous permettra a minima de vous éviter bien des douleurs au poignet. Et si vous êtes un peu créatif vous verrez que les possibilités se multiplient quand on a les mains libres.
Place à la pratique ! UTILISER UN GODE QUAND ON EST UN MEC, POUR 1ERE FOIS !
Je vous livrais plus haut les deux conseils qui peuvent vous éviter une mauvaise expérience. Je détaille tout cela encore plus sur mon blog, vous trouverez l’adresse plus bas. Voici le kit de survie pour vos explorations :
- Mettez du lubrifiant. Plutôt trop que pas assez. Pour vous donner un ordre d’idée, 5 ml est une base très raisonnable quand on débute. Commencez par masser tout votre périnée, votre anus pour vous détendre, et glissez d’abord un doigt bien lubrifié. Vous verrez peu à peu si vous vous sentez plus à l’aise pour accueillir plus.
Lubrifiez donc, et pas uniquement à l’extérieur ou sur votre toy. Vous pouvez par exemple fabriquer un suppositoire de beurre de karité (en coupant un petit bâtonnet dont vous arrondirez les angles en le frottant) ou utiliser une seringue sans aiguille pour injecter un lubrifiant liquide dans votre fondement. N’utilisez que de bons produits : lubrifiants du commerce « faits pour » (donc pas de vaseline pleine de produits pétroliers) ou produits naturels (beurre de karité, plus solide, ou huile de coco, plus liquide). - Allez-y mollo. Techniquement et physiologiquement, on a tous un anus capable de se dilater, et on est tous capables d’accueillir la pénétration anale, même avec peu de lubrification. Mais il y a franchement moyen de se faire mal.
Surtout, ne cédez pas à l’envie naturelle de pénétrer toujours plus loin, toujours plus fort. Ne focalisez pas sur ce qui entre, mais sur votre corps qui reçoit. Commencez très progressivement, concentrez-vous sur les sensations à l’intérieur de vous, dans ces zones qui n’ont pas vraiment l’habitude que vous les touchiez.
Vous aurez sans doute besoin de plusieurs essais, prenez votre temps, arrêtez si ça fait mal, si ça chauffe fort ou si vous n’êtes pas à l’aise. Je vous donne d’autres conseils dans un article de mon blog.
A votre tour !
Quoi que cet article vous inspire, merci de l’avoir lu jusqu’au bout. J’espère vous avoir donné une idée qui, peut-être, fera son chemin en vous. Les expériences que je viens de vous proposer ont été pour moi la porte d’entrée vers d’autres pratiques : plaisir prostatique, tantra et tao, orgasmes hypnotiques… Aujourd’hui je suis convaincu que la sexualité masculine peut se réinventer, nous amener vers des plaisirs bien meilleurs que le simple orgasme éjaculatoire, et que nous avons beaucoup à apprendre sur nous-mêmes. Si ces mots vous parlent, je vous invite à aller jeter un œil à mon blog, www.eveilletajoie.fr, où je partage des liens, des ressources et des conseils pour faire grandir votre sexualité.
Je vous souhaite d’aller caresser de temps en temps les nuages du septième ciel !
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